Konstantin Sannikov, de Kazan, n’a pas pu rencontrer sa femme depuis plus d’un an, mais des lettres du monde entier le soutiennent dans le centre de détention provisoire
Konstantin Sannikov, de Kazan, n’a pas pu rencontrer sa femme depuis plus d’un an, mais des lettres du monde entier le soutiennent dans le centre de détention provisoire